Bonjour à tous!
Une internaute nous a posé la question suivante:
Est ce qu'on peut décrire à Dieu les critères de notre futur conjoint ? je veux dire: dire à Dieu le type d'homme qu'on aimerait avoir ?
C'est une bonne question et tout aussi importante car elle attrait au choix de son futur Conjoint, beaucoup d'orateurs , pasteurs, enseignants ont eu à donner de bons conseils à cette question, tellement c'est une réalité qui reste un problème d'actualité et le restera toujours à mon avis.
Moi même au départ, je disais à Dieu: Seigneur je voudrais que mon futur époux soit :
1-mon ainé de la foi en CHRIST,
2-un homme qui sera un serviteur de Dieu dans son champs missionnaire, car moi même j'avais cet appel d'oeuvrer pour Dieu dans ce sens, et je disais Dieu ne peut pas me donner un conjoint qui n'aura pas cette même vision que moi☆
puis j'ajoutais bon Seigneur, ce sont mes principaux critères mais stp lol je veux ajouter ceci Seigneur, un petit bonus:
3- qu'il soit beau, dur de caractère, beaucoup plus âgés que moi car pour moi le fait qu'il soit plus âgé me garantirait a 100% quil est très mature lolll. quil soit lusophone lol, bon mais Seigneur cest pas grave si tu ne me donnes pas ces petits bonus.... hein, je sais que tu connais la bonne personne pour moi.
Et il ya 8 ans, j'ai trouvé le conjoint que Dieu m'avait choisi, certains de mes bonus faisaient fausse route, lol, car Dieu savait qui serait la bonne personne adapté à moi. Et oui on ne sait pas souvent ce qui est bon pour nous. mais mes critères principaux etaient bien là, Gloire a Dieu qui connait celui qui est bon pour chacun, il ya 4 ans de cela jour pour jour, j'ai épousé cet merveilleux homme. Gloire a Dieu. Happy birthday a nous mon amour!♡♡♡♡♡♡♡
j'aimerai alors te partarger un petit CONDENSÉ d'un des nombreux livres qui m'a été bien utile, celui de "Bremicker Ernst August" sur Le choix d’un conjoint.
Dans son livre, pour le choix d'un conjoint, il a évoqué des critères à ne ne pas suivre car ce sont des erreurs dans le choix de son futur conjoint, et les critères à suivre pour bien choisir.
A- LES MAUVAIS CRITÈRES A NE PAS SUIVRE:
- Premier
Confondre des chatouillements dans le ventre avec l’amour. Le jeune homme voit une jeune fille bien, blonde, de belle allure. Quand elle le regarde de ses grands yeux, il se sent mal, sa pression sanguine monte, le cœur se met à battre ; il tombe amoureux comme on dit. La jeune fille voit sur la côte un jeune homme brun, terrible, avec une barbe de trois jours et le ventre plat. Il lui plait. Il lui parle. Quand il parle, ses sentiments à elle s’emballent.
Attention chers amis ! Quand ça arrive, et ça peut arriver très vite, il faut tirer toutes les sonnettes d’alarme. Pense à ceci : être amoureux est bien, mais le vrai amour est tout à fait différent. L’amour au premier coup d’œil est aussi fiable qu’un diagnostic de médecin basé sur une poignée de main. Quelqu’un de sérieux ne s’y fie jamais.
Quelqu’un a dit une fois, que le vrai amour se joue à au moins 50 % dans la tête. Quand on est « seulement » amoureux, c’est à 100 % une affaire de sentiments. Mais les sentiments, si beaux soient-ils, ne sont pas une base solide pour fonder un mariage. On ne peut pas se fier aux beaux sentiments.
-Deuxième
En matière de choix de conjoint, il est très dangereux de se laisser influencer trop fortement par les choses extérieures. L’homme pense souvent à la beauté, la femme à la position sociale, à la profession, à l’argent. D’autres se demandent si le conjoint futur aime la musique, le sport, les voyages ; s’il est actif, blond ou noir, etc. — il est facile d’en rajouter. Ce sont certes des questions qu’on peut se poser, mais si elles sont centrales pour prendre notre décision, nous passons à côté de l’essentiel. Bien des jeunes chrétiens ont échoué sur ce plan. À ce stade tu peux faire le point à titre personnel. Prends une feuille de papier et écris simplement et sincèrement quelles sont les caractéristiques et les particularités qui te semblent bonnes et importantes chez ton futur conjoint. Puis vérifie d’un point de vue critique si pour l’essentiel, ce sont des choses extérieures. Je ne dis pas que c’est sans importance. Bien sûr, il faut que ton conjoint te plaise, et que vous ayez des intérêts communs. Mais l’essentiel sont les traits de caractère. L’essentiel, c’est s’il y a de l’intelligence spirituelle, si la personne est caractérisée par la crainte de Dieu, et si elle vie la vie avec le Seigneur. Ce dont tu as besoin, c’est un conjoint en qui tu pourras avoir un point d’appui solide au jour de tempête de ta vie (de couple) future.
- Troisième
Il peut y avoir le cas où les choses spirituelles sont plus importantes pour toi que les choses extérieures. Mais chez toi, il y a un autre problème. Tu sais que le bon conjoint vient de Dieu, et tu pries intensivement à cet égard. Mais en principe tu t’es déjà intérieurement fixé. Ta décision est prise déjà solidement, et tu n’attends qu’un feu vert de la part de Dieu. C’est une difficulté classique de la vie du chrétien, pas seulement dans le choix d’un conjoint. On prie pour quelque chose alors qu’on a déjà choisi intérieurement. On attend seulement que Dieu donne sa confirmation à ce qu’on a déjà décidé. Ce n’est pas bon, et dans le cas du choix d’un conjoint, ce gendre d’attitude peut avoir des conséquences fatales.
- Quatrième
Tu te bâtis un monde de rêve où ton conjoint aura la solution merveilleuse à tous les problèmes. Tu te représentes ton futur mari ou ta future femme d’une manière bien précise. Puis le temps passe, et un jour tu rencontres quelqu’un qui apparemment correspond en tout point à l’idéal que tu t’es forgé. Penses-tu que tu puisses alors être encore objectif ? Penses-tu que tu puisses accepter que dans ces circonstances Dieu dise non ? Je ne peux que te conseiller de mettre de côté ces représentations imaginatives. Dans le monde réel, il n’y a pas l’homme ou la femme du rêve de tes illusions. Chaque personne a ses points forts et ses points faibles. Il faut très simplement en tenir compte. Plus tu te seras fixé intérieurement un type idéal, plus tu auras de problèmes à trouver le bon conjoint. Il y a en tout cas une forte probabilité que tu vives une désillusion.
- Cinquième
Tu tombes sur quelqu’un qui extérieurement mène une vie chrétienne irréprochable. Il y a des jeunes gens et des jeunes filles chez qui la façade est super en ordre. Ils fréquentent les réunions chrétiennes, participent aux réunions pour les jeunes, ils chantent dans le chœur de l’assemblée ; ils sont partout où il y a de l’activité. Cela suffit-il ? Bien sûr que non, si cela n’est qu’une forme extérieure. Il faut que par derrière il y ait une vie authentique avec le Seigneur. Fais attention à ne pas te laisser éblouir par les traditions. Il n’y a rien à objecter aux traditions tant qu’elles ne sont pas une enveloppe vide, sans contenu. J’espère que tu cherches quelqu’un qui fait son chemin avec le Seigneur. C’est justement ce qui est très important.
- Sixième
Tu réclames un signe de la part de Dieu pour être au clair. Daniela était amoureuse ; elle croyait parfois avoir trouvé avec Jacques l’homme de sa vie, et voilà qu’un jour il fait sa demande en mariage et subitement elle se met à avoir des doutes. Il n’y avait rien de précis à objecter à Jacques, mais tout simplement elle n’avait pas de repos intérieur. Elle priait, elle en parlait à ses parents, mais aucune clarté ne venait. Le soir elle jouait au scrabble avec son petit frère, et voilà qu’il lui vient une idée : « Si la prochaine fois que c’est à moi de jouer, je tire de la pioche un « J » comme Jacques, alors ça sera le bon choix ». Effectivement, c’est un « J » qui est sorti. Mais au lieu que cela lui donne la paix, cela la trouble encore plus. Finalement elle n’a pas épousé Jacques, et elle a réalisé plus tard que cela n’aurait pas été bon, cela n’aurait pas fait un bon couple. Daniela n’est pas un cas unique. Il y a bien des jeunes gens qui voudraient faire dépendre leur décision d’un signe. Ils se basent en général sur l’histoire de Gédéon (Juges 6:36-40). Mais Gédéon vivait au temps de l’Ancien Testament ; il ne disposait pas de la volonté révélée de Dieu dans la Bible et ne possédait pas le Saint Esprit. Pour nous, il en va autrement. Nous possédons la Parole de Dieu et pouvons la lire. L’Esprit de Dieu habite en nous. Il n’y a pas un passage du Nouveau Testament qui indique qu’on puisse encore aujourd’hui attendre des signes ou tirer au sort. Ces choses n’avaient lieu qu’avant la descente du Saint Esprit sur la terre. C’est pourquoi je ne peux que te conseiller de ne rien décider de cette manière.
B-LES BON CRITÈRES A SUIVRE:
Premier critère : converti
C’est la première question à résoudre ; il faut que la réponse soit claire et nette.
Pour un chrétien né de nouveau, il n’est pas possible de ne pas commencer par se poser la question suivante en rapport avec le choix d’un conjoint : Est-il / est-elle converti(e) ? Je désire être très clair, et insister là-dessus : C’est toujours à tort qu’on pense pouvoir marier un(e) inconverti(e). Sur ce point, il n’y a aucune circonstance susceptible de donner lieu à une tolérance intérieure ou à un compromis de laisser-aller. Deutéronome 7.3-4, 2 corinthiens6.14-16, Amos3.3, colossiens1.21, Genese 1.4, Éphésiens5.8
Un argument bien connu, d’apparence pieuse prétend ceci : « j’ai épousé un incroyant pour qu’il soit conduit au Seigneur ». C’est un argument de belle apparence, mais qui n’a certainement pas la bénédiction du Seigneur. Il y a d’autres moyens d’amener les incroyants au Seigneur, et conclure un mariage n’en fait pas partie : le mariage n’est pas une méthode d’évangélisation.
Une jeune fille vint une fois trouver le prédicateur Spurgeon avec cet argument. Elle voulait épouser un incroyant et réclamait la bénédiction du prédicateur. Spurgeon demanda à la jeune fille de monter sur la table et d’essayer de le tirer vers le haut. La jeune fille se donna toutes les peines du monde, mais ne réussit pas à tirer le vieil homme en haut. Ce fut alors au tour de Spurgeon de tirer la jeune fille, et il réussit à la faire descendre de la table dans l’affaire de quelques secondes. L’illustration était claire et nette. Lis Aggée 2:11-13 !
Deuxième critère : avoir fait ses preuves
Le premier critère a une importance décisive. Or il ne suffit pas que le conjoint potentiel prétende être croyant. La confession doit s’avérer réelle et authentique.
Étienne était un jeune homme issu de parents croyants. Durant son apprentissage, il fit la connaissance de Pierrette qui, dès le premier jour, parut avoir jeté un œil sur Étienne, et réciproquement. Les deux s’entendaient assez bien et se rapprochèrent rapidement. Cependant Étienne dit clairement dès le début qu’il n’épouserait qu’une femme connaissant le Seigneur Jésus comme son Sauveur personnel. Pierrette écouta tranquillement, en parla avec Étienne et se mit à fréquenter plus ou moins régulièrement les réunions des chrétiens où allait Étienne. Les parents d’Étienne restaient sceptiques. Pierrette ne tarda pas à dire qu’elle avait reçu le Seigneur Jésus dans sa vie. Elle voulait à l’avenir aller dans un même chemin avec Étienne. Pourtant les parents ne se réjouissaient pas de cette liaison : l’affaire ne leur paraissait pas authentique. Ils avertirent leur fils, qui n’écouta pas ses parents. Il était sûr de son affaire, et il voulait épouser Pierrette. Le jour du mariage vint, puis le jour suivant, et voilà que Pierrette lui dit la vérité toute nue. Le voyage pieux (c’est ainsi qu’elle l’appelait) n’avait été qu’une comédie. Elle n’était pas convertie et ne visiterait dorénavant pas la moindre réunion chrétienne. Étienne en fut comme assommé, mais il n’y avait plus moyen de faire machine arrière. Jusqu’à aujourd’hui, les deux sont encore mariés ; ils se sont arrangés tant bien que mal, mais leur mariage n’est pas un bon mariage, et les deux enfants qu’ils ont eu, souffrent des différences d’orientation de leurs parents.
La mise à l’épreuve va plus loin que simplement avoir la conviction que le futur conjoint est converti. Prenons le cas où le futur conjoint est effectivement croyant. Même dans ce cas la mise à l’épreuve est nécessaire. Inversement, cela ne veut pas dire que tu ne dois épouser que quelqu’un de parfait ; si c’était le cas je serais encore célibataire, et beaucoup d’autres avec moi. Il n’y a pas de gens parfaits. Il faut quand même une certaine mise à l’épreuve, et cela dans deux directions :
D’abord une mise à l’épreuve dans les choses terrestres est nécessaire: Est ce quil est mature, est ce quil est indépendant de ses parents.... Proverbes 24.27
En suite il faut une mise à l’épreuve dans les choses spirituelles:
Montre-t-il ou montre-t-elle de l’intérêt pour la Parole de Dieu et les pensées qui s’y trouvent ?
Ce que dit la Bible, est-il important pour lui ou elle dans la vie quotidienne ?
Es-tu sûr que ta future femme ou ton futur mari peut être un appui ou une aide dans les questions spirituelles ? Et toi-même personnellement, peux-tu l’être ?
Les réunions de chrétiens seront-elles fréquentées régulièrement ?
Reconnaît-on l’intérêt pour les choses du Seigneur ?
Y a-t-il de l’intérêt pour l’évangile ?
Il y a encore un critère important à mon avis. En tant que couple, ne vivez pas isolés, mais soyez liés à d’autres croyants. Vous fréquenterez des réunions chrétiennes. Es-tu sûr qu’avec ton futur conjoint vous pourrez suivre un chemin commun à cet égard ? J’entends par là non seulement le chemin que vous suivrez comme couple, mais le chemin que, comme couple, vous suivrez avec d’autres chrétiens. On parle volontiers aujourd’hui « d’arrière-plan communautaire ». Quel est l’arrière-plan communautaire de celui / celle que tu veux épouser ? Avez-vous à cet égard une ferme conviction commune, — et une conviction qui s’appuie sur l’enseignement de la Bible ? Il est indispensable d’avoir entre conjoints une même pensée sur les questions essentielles de la foi. Cela comprend bien sûr que vous vous trouviez en harmonie à l’égard du chemin à suivre ensemble avec les enfants de Dieu, — le chemin que le Seigneur vous montre dans Sa Parole. Si le conjoint que tu désires te détourne du chemin que tu as suivi jusqu’ici par conviction, alors il vaut mieux te retirer. La question est importante. Réfléchis un peu, le dimanche matin, si vous fréquentez chacun une communauté différente ! Des tensions apparaîtront, au plus tard quand il y aura des enfants ; mais vraisemblablement, ça viendra avant.
Notre mariage ne doit pas être seulement pour nous. Il doit être à l’honneur du Seigneur et pour Lui. Cela ne va pas sans mise à l’épreuve spirituelle. Contrôle ce point soigneusement. Si tu ne te sens pas sûr, alors attends, ou laisse mûrir
.
Troisième critère : correspondance ?
Admettons maintenant que le conjoint que tu désires est converti et qu’il a aussi été mis à l’épreuve. Ça suffit ? je ne le crois pas. Il y a encore un point tout à fait important. Est-ce que le partenaire que tu voudrais marier te correspond réellement ? Quand Dieu fit une femme à Adam, Ève était exactement la femme qui lui convenait. Elle était la femme qui lui correspondait (Gen. 2:18). Dieu avait fait Ève juste comme Adam en avait besoin. Pareillement, Dieu voudrait te donner un(e) conjoint(e) qui te correspond.
Je le répète encore une fois : être marié, c’est beaucoup plus que d’avoir quelqu’un avec qui on va au lit. Le côté sexuel en fait indiscutablement partie. C’est un don de notre Créateur pour le mariage. Mais être marié est infiniment plus que cela. C’est une unité indissociable d’esprit, d’âme et de corps. Avec ton conjoint tu partages tout dans la vie. Tu partages les sujets d’intérêt, les sentiments, la table, l’habitation, le temps, l’argent, le service pour le Seigneur. C’est pourquoi ce troisième critère sur lequel nous réfléchissons maintenant est très important. Pèse bien devant le Seigneur si ton futur conjoint te correspond réellement, si tu peux tout partager avec lui.
Il ne faut pas être sourd en présence de la question de savoir si mon conjoint me correspond ou non. C’est une question avant tout rationnelle, qu’on pose non pas avec le cœur, mais avec l’intelligence. Il ne s’agit pas bien sûr des coups d’œil de la femme ni de son tour de poitrine ; il ne s’agit pas du salaire de l’homme ni de ses titres dans le monde. Non, le mariage est quelque chose de tout autre, et cela va beaucoup plus loin. Il s’agit de savoir si l’homme et la femme.
il faut une correspondance esprit, âme et corps
Esprit:Cela veut dire que l’on est capable d’échanger avec son conjoint sur des sujets bibliques. On lit ensemble dans la Bible et on parle là-dessus. On prie ensemble. Te rends-tu maintenant compte qu’il ne suffit pas que le conjoint soit seulement converti ? Comment veux-tu échanger spirituellement avec ta femme si le dimanche vous n’allez pas au même lieu de culte ? Comment veux-tu t’entretenir de sujets spirituels avec ton futur mari s’il n’a en tête que sa carrière et le football ?
Âme:peux-tu avec ton conjoint futur avoir une bonne communion sur ce plan émotionnel ?
Il y avait, une fois, un mariage qui paraissait avoir eu un bon départ, et voilà qu’il échoua au bout de plus de vingt ans. Le mari dit alors à peu près ce qui suit : « ma femme ne m’a jamais laissé voir quelque chose de son monde des sentiments, et cela dès le temps des fiançailles ; et de mon côté, je ne lui ai jamais réellement ouvert mon intérieur ». Ce mariage était voué à l’échec dès le départ. C’est pourquoi réfléchissez bien à cet aspect !
Corps:Ne marie pas quelqu’un que tu ne trouves pas désirable, mais ne prends jamais ta décision avec comme critère principal la beauté extérieure et ta propre convoitise.
Pour Conclure, c'est vrai qu'avant les fiançailles, on ne peut guère tester ou connaître, et si on le peut, ce n’est, au mieux, que de manière très limitée. Mais il est important de se poser les bonnes questions devant le Seigneur de savoir si on peut envisager une union avec tel homme ou telle femme.
Nos critères ne sont pas toujours ceux du Seigneur, ce qui faif qu'on peut tourner en rond pendant des années, alors que la personne est tout simplement là sous nos yeux. Il n’y a de conjoint parfait, c'est Dieu qui est parfait qui unit deux personnes imparfaites.
Voilà,
a bientôt.
Très édifiant cet article!
RépondreSupprimerMerci beaucoup.
Je pense qu'à tout ceci, on pourrait ajouter la compatibilité sur le plan médical: il est important de faire les tests prénuptiaux avant de s'y lancer.